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Flahaut et Madrane chez Mboso dans le cadre de la coopération parlementaire RDC-Belgique.

Le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, a échangé ce jeudi avec une délégation belge, conduite par le président du Parlement bruxellois, accompagné du ministre d’Etat André Flahaut. Ceci dans le cadre du protocole qui existe entre le parlement belge et l’Assemblée nationale de la RDC.

« L’idée est de voir comment on peut mieux collaborer ensemble, et en tant que président du parlement bruxellois, l’idée est de voir comment le parlement bruxellois peut s’associer avec les autres Assemblées du pays, notamment de 26 provinces. Il s’agit de voir comment nous, Belgique, pouvons apporter une aide concrète, notamment avec l’échange des fonctionnaires, comment aider le service de documentation car, derrière un parlement, il n’y a pas que les députés, mais aussi les services. Nous voulons, à travers ce protocole, trouver des formules de collaboration entre fonctionnaires; ce qui permettra aux deux États de raffermir leurs relations qui sont évidemment très anciennes« , a déclaré Rachid Madrane.

La délégation belge travaille aussi pour le raffermissement des relations, de manière symbolique, pour avoir à la fois un représentant du parlement fédéral et le président d’une assemblée de l’entité fédérée belge. « Nous voulons affermir nos relations Belgique- entités fédérées- Congo. C’est nécessaire parce qu’il y a un lien historique entre nos deux pays. Et la Belgique a un rôle à jouer ».

Pour sa part, André Flahaut, ministre d ‘Etat , a placé sa mission dans la continuité, car ce n’est pas la première fois qu’il débarque au parlement congolais.

« Ma volonté est de faire en sorte que, suite à la cérémonie Lumumba, à la commission économique, après la visite royale, il faut absolument, entre Belges et Congolais, qu’on booste le partenariat, on mobilise les relations de partenariat dans tous les domaines dont le domaine législatif est le plus important de tous. Il ne faut pas seulement se limiter aux visites, aux discours, il faut poser des actes », a t-il martelé.

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