Le comité laïc de coordination (CLC) constate avec “stupéfaction” que les conclusions “peu satisfaisantes” des concertations des chefs religieux ont abouti à la “profanation des églises et des objets du culte et des insultes les plus obscènes proférées à l’endroit du Cardinal Ambongo”.
Cette structure considère que la présidence de la CENI ne peut-être l’otage de deux candidatures, malgré leurs pertinences intrinsèques. Préconisant ainsi le retour à la table de négociation pour toutes confessions religieuses pour pouvoir statuer sur d’autres candidatures.
Enfin le CLC est prêt “à prendre ses responsabilités” si les forces politiques et sociales ne se ressaisissent pas.