La Société d’infrastructures sino-congolaise (SISC S.A) et la Sino-Congolaise des Mines (SICOMINES S.A), ont dit leur satisfaction de l’opportunité qu’elles ont, de participer à l’œuvre de la reconstruction de la République démocratique du Congo (RDC).
« A l’occasion, nous tenons à remercier à travers vous le peuple Congolais pour la confiance qu’il nous témoigne en nous permettant de participer à l’œuvre de la reconstruction de votre pays », a déclaré mardi, le directeur général de SISC S.A, Pang Long, à l’occasion du lancement des travaux de la 2ème phase de réhabilitation et de modernisation de la Route nationale n°1 (RN1), en son tronçon compris entre Mbuji-Mayi et Mwene-Ditu, au niveau de la localité de Bena Bilonda, dans le territoire de Tshilenge, province du Kasaï Oriental.
« Nous sommes très honorés d’avoir l’opportunité de participer à cette œuvre exaltante, nous avons eu une expérience positive et intéressante lors de la collaboration avec l’Agence congolaise des grands travaux (ACGT), ce qui constitue la preuve que nos deux peuples sont engagés à travailler ensemble pour la transformation de votre pays », a-t-il ajouté.
Le directeur général de SISC a appelé ses employés et les différentes parties prenantes à doubler d’efforts pour la réussite de ce projet d’intérêt général.
« En étroite collaboration avec le maître d’ouvrage délégué, l’Agence Congolaise des Grands Travaux, (ACGT) nous pousserons à l’enthousiasme les travaux de tous les côtés, et organiserons les exécutions des travaux à toute force, en vue d’achever toutes les tâches de construction du projet dans les délais avec qualité et quantité garanties, d’établir la marque de CREC, et de soumettre une bonne réponse au peuple de la RDC », a promis Pang Long.
Rappelons que le 22 avril 2008, le Gouvernement de la RDC avait signé « la Convention de collaboration avec le Groupement d’entreprises chinoises constitué notamment des sociétés d’Etat China Railway Limited (CREC) et SINOHYDRO Corporation (SINOHYDRO). En vertu de cette Convention, les entreprises chinoises se chargeaient du financement et de l’exécution des projets d’infrastructures locaux tandis que les deux parties se joignent pour la création de la société Sino-congolaise des mines (SICOMINES S.A) afin d’explorer et exploiter les ressources minières.